Mardi, premier contact avec les femmes de

Mardi, premier contact avec les femmes de Bayushi, à la fabrique de pâtes de quinoa.

Elles commencent par m’expliquer une par une pourquoi elles ont besoin d’être payées pour leur travail : elles se font cognées dessus par leur mari qui ne comprennent pas pourquoi elles vont se faire chier à bosser sans êtres payées.

Il faut donc leur expliquer que c’est à elles de se débrouiller pour vendre leurs pâtes et se retirer un salaire, que ce n’est pas notre entreprise mais la leur, mais ce n’est pas facile.

Pierrick finira par accepter de leur lâcher 10$ par jour de production.